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Arwina

Cette histoire est une pure fiction, même si ce que je dis à la fin pourrait laisser croire le contraire. Il y a sûrement plein de fautes médicales dedans, mais je suis désolée, je ne suis pas médecin ! Je ne me suis pas très attachée aux personnages du Cook County dans cette fiction, mais j’ai écris comme ça me venait, et lisez avant de juger. Bonne lecture. Cet épisode est un peu hors saison, Morris est chef des urgences et Luka vient de rentrer de Croatie. Les autres ont leurs rôles normaux.

 

J’arrive aux urgences par la grande porte, j’ai même eu droit à une ambulance, normal, je suis inconsciente, je suis tombée dans les escaliers, j’ai une grosse blessure à l’arrière du crâne qui me fait vraiment mal. On me secoue, je me réveille, j’ai la nausée, je ne me sens pas vraiment bien. On m’installe dans une salle, des médecins me posent des questions, c’est un petit roux qui s’occupe de moi, à côté de lui se trouve une infirmière blonde. J’ai du mal à écouter, mais je fais un effort, c’est sûrement pour mon bien.

 

Le roux : Prenez-vous des médicaments ?

Moi : Non, rien de spécial, des aspirines quand j’ai un mal de tête, mais c’est tout.

Il écrit quelque chose sur les papiers qu’il a en main.

La blonde est en train de m’ausculter.

La blonde : Morris, son pouls est faible, il faut continuer à la surveiller de près.

Ainsi donc, il s’appelle Morris ? Marrant…

Morris : Je sais Sam, mais on est débordés. Je vais faire ce que je peux.

Ah, elle, elle s’appelle Sam alors. Ah, mais Morris me parle à nouveau.

Morris : On va vous faire subir quelques examens pour voir si tout va bien, s’il n’y a pas d’hémorragie à l’intérieur de votre crâne, quelqu’un va vous y emmener le plus rapidement possible. En attendant, restez bien couchée.

 

Comme si j’étais capable de me lever… Je me sens très fatiguée, je crois que je vais dormir. C’est bête, on est la veille de Noël, j’ai encore tant de chose à préparer. Ils m’ont fait subir quelques examens, leur tête me fait un peu peur, les nouvelles n’ont pas l’air d’être bonne.

 

Je me sens de plus en plus mal tout d’un coup, ma vue se trouble, j’ai très chaud et froid en même temps, je me sens partir. Des gens s’affairent autour de moi, Morris est là, Sam aussi, ils me parlent, mais je n’entends pas.

 

Je me sens flotter ailleurs, j’ai l’impression que ce n’est pas moi dont ils s’occupent, comme si je regardais la scène du dessus. C’est étrange. Je les vois soudain tout laisser tomber, quelqu’un qui ne s’était pas occupé de moi dit alors : elle est tombée dans le comma, on ne peut plus rien faire. Quoi ??? Ce n’est pas possible, je ne peux pas être dans le comma, je n’arrive juste plus à parler, je suis là, ohéééé, ne me laissez pas. Aidez-moi, s’il vous plaît, aidez-moi…

 

Non ! Ils n’ont pas le droit de laisser tomber, on ne tombe pas dans le coma, pas la veille de Noël ! Mais Morris est un peu plus loin, je vais me lever, lui expliquer tout, ils me soigneront, tout ira mieux. Je vais vers lui, mais mon corps est toujours allongé, je ne comprends pas, personne ne semble me voir, je suis invisible, comment est-ce possible ? Je suis à côté de lui, il parle à mon mari, il a l’air désolé. Mon mari, Amaury, pleure, il semble dévasté. J’ai envie de le prendre dans mes bras, lui dire que c’est une erreur, mais je ne peux rien toucher, personne ne m’entend.

 

Morris : Je suis désolé monsieur, on ne peut rien faire, juste attendre.

Amaury : Mais elle allait bien, ce n’est pas possible, on ne tombe pas dans le coma comme ça !

Morris : On sait peu de choses sur le coma, ça reste encore un des plus grand mystères de la médecine. Il faut être patient, elle peut se réveille dans quelques heures ou quelques années. Le coma est un moyen que le corps utilise pour se protéger quand il n’a plus d’autre moyen de lutter. Il semble que le chute de votre femme ait affecté son cerveau, il y avait un hématome à l’intérieur de son crâne, on l’a ponctionné, mais ce n’était pas suffisant.

Amaury : Je… Je pourrais la voir s’il vous plait ?

Morris : Bien sûr, venez, elle est par là. Elle est fort pâle, mais sinon, on a juste l’impression qu’elle dort. On dit souvent que les gens dans le comma entendent ce qu’on leur dit, je ne sais pas si c’est vrai, mais vous n’avez rien à perdre.

 

Je les accompagne, Amaury pleure sans retenue à la vue de mon corps branché à toutes ces machines. Ce n’est pas juste, j’ai seulement 26 ans. Ça allait être notre premier Noël depuis notre mariage. Je ne veux pas le quitter, je veux vivre la vie qui se promettait à nous. Je ne peux supporter de le regarder comme ça, sans rien pouvoir faire. Ils auraient pu et dû empêcher ça. Amaury a raison, on ne tombe pas dans le comma pour une simple chute dans les escaliers. Alors quand Morris part, je le suis, je m’arrangerai, je ne sais pas comment pour me venger. Il apostrophe un autre médecin.

 

 

Morris : Abby!

Abby: Oui ?

Morris : Je déteste ce métier certains jours, on ne devrait jamais avoir à annoncer des nouvelles pareilles la veille de Noël. Elle a 26 ans, ce n’est pas juste. Et je ne peux rien faire pour consoler ce pauvre type qui vient de voir sa vie s’effondrer en un battement de cœur. Je ne sais même pas si elle a réellement une chance de s’en sortir.

Abby : Je sais…

 

Soudain, une grande agitation se met à régner, le réceptionniste s’emballe au téléphone, les infirmières s’agitent, mes médecins aussi s’y mettent, je ne comprends pas.

 

Morris : On ne pourra pas tous les accueillir, mais on fera le maximum. Sam, transfère tous les patients peuvent l’être vers d’autres services.

Sam : Ok, j’y vais.

Morris : Pratt, essaye d’expliquer à ceux qui attendent au triage de se diriger vers d’autres hôpitaux ou des pharmacies, on ne pourra pas s’en occuper.

Pratt : Je m’en occupe.

Morris : Ok tout le monde, il y a eu un accident de la route impliquant un grand nombre de véhicules, on nous les amener ici, c’est l’hôpital le plus proche. Il y a au moins 10 blessés graves, et une vingtaine de blessé plus léger. Il nous faut de la place et un maximum de personnel. Bipez tous ceux de garde et essayer de faire venir les autres.

Abby : Tu veux que j’appelle Luka ? Je sais qu’il vient seulement de rentrer de Croatie, mais je crois qu’il accepterait de venir.

Morris : Bien sûr, on ne va pas manquer de boulot, tout le monde est le bienvenu.

 

Mon dieu, ce Noël est pourri, ce n’est pas possible ! Je retourne vers mon corps, Amaury est toujours à côté, il me parle.

 

Amaury : Ma chérie, tu m’entends ? Réponds-moi, fais moi un signe, montre-moi que tu m’entends ! Je ne veux pas passer cette fête de Noël seul, ça devait être notre premier Noël ensembles, à deux, dans notre appartement, en tant que jeunes mariés, ne ma laisse pas, s’il te plait ! Je t’ai trouvé un super cadeau de Noël, curieuse comme tu es, je suis sûre que tu vas te réveiller juste pour savoir ce que c’est parce que je ne vais pas te le dire. J’ai envie de voir ta tête quand tu vas l’ouvrir…

S’il continue, je vais me mettre à pleurer, je voudrais tant pouvoir le rassurer, lui dire que je vais bien, mais est-ce que je vais vraiment bien ?

Amaury : … tu te souviens comme tu étais devenue folle quand tu ne savais pas ce que j’allais t’offrir pour ton anniversaire, tous les jours tu me posais la question, mais j’ai tenu bon, je n’ai rien dit. Ta tête quand tu as vu la bague, tu ne t’y attendais pas, on en avait parlé, mais on était si vagues sur le sujet. Je me souviens du regard que tu as posé sur moi à ce moment, je ne pourrais jamais l’oublier…

Moi non plus, je ne pourrai jamais oublier ce moment, tu as raison, j’ai été si surprise, c’est vrai que j’en rêvais… La bague était si belle dans son écrin, tu l’as prise et tu m’as demandé de t’épouser en la glissant à mon doigt, et j’ai dit oui évidemment, tout de suite… Mais quelqu’un arrive, il parle à Amaury, c’est Sam, l’infirmière.

 

Sam : Monsieur ? Je suis désolée, mais votre femme va être transférée. On va avoir besoin de place ici, elle va aller en soins intensifs.

Amaury : Je peux l’accompagner ?

Sam : Bien sûr, mais vous ne pourrez sans doute pas rester longtemps à son chevet, ils ont des règles très strictes pour le visites.

Amaury : D’accord…

 

Il y beaucoup de bruit, c’est le bordel, mais un bordel organisé, chacun semble savoir ce qu’il a à faire, les premiers accidentés sont arrivés. Ils ne sont pas dans un bel état, j’ai décidé de laisser mon corps partir sans moi. J’ai besoin de comprendre. Comprendre l’absurdité de ce qu’il vient de m’arriver. J’assiste à des conversations entre médecins sur certains cas.

 

Abby : Sat à 60, pouls faible, sans doute hémorragie intra abdominale, il a mal quand je pousse sur son ventre. J’ai besoin de lui faire une échographie.

Morris : Demande à Sam de t’apporter le matériel.

Luka : Salut ! J’ai une fracture ouverte du tibia et du péroné ici, il faut remettre tout ça en place, je peux le faire, mais il faut quelqu’un pour accueillir un nouvel arrivant, inconscient, saignements des oreilles et du nez, pupille non réactives, pouls faible, probablement une fracture du crâne avec hémorragie interne.

Morris : oh non, pas encore, bon, j’y vais.

 

Un patient dans le même état que moi à mon arrivée, il va lui aussi tomber dans le comma, peut-être qu’on pourra se parler, qu’il va devenir comme moi. Je rejoins donc Morris pour accueillir le nouvel arrivant chez les esprits. Morris est en train de le soigner, il a l’air moins agité que pour moi, il n’y a pas l’air d’avoir de problème pour lui. En effet, Morris s’en va et donne comme consigne à l’infirmière de le laisser sous traitement d’un médicament au nom barbare et de l’appeler quand il se réveillerait. Ainsi donc, je vais rester seule. Si ce n’est qu’à moi que c’est arrivé, c’est qu’il a fait une erreur. Mais il s’en va déjà, je le rejoins, je vais trouver un moyen d’entrer en contact avec lui, il va m’expliquer pourquoi moi je suis tombée dans le coma et pas l’autre.

 

Mais je n’y arrive pas évidemment, je ne peux qu’observer, observer le va et vient incessant dans les urgences. Je dois avouer que ces médecins travaillent avec une redoutable efficacité. J’ai vue arriver en une heure des dizaines de patients, et chacun a été traité, au moins sommairement.

 

Je dois admettre qu’il n’y a rien à comprendre, il n’y a pas de raison pour que je sois tombée dans le coma, c’était imprévisible, ils n’auraient rien pu faire. Le boulot accompli chaque jour ici tient du miracle. Nous, on croit aux miracles à Noël, en se disant que pour les fêtes, on peut tout espérer. Mais aux urgences, chaque patient devient un miracle, et si certains ne sortent pas vivants des urgences, c’est que ce sont de simples humains qui essayent de les sauver. Personne n’est à l’abri d’une erreur, et de toute façon, la médecine n’est pas infaillible.

 

J’ai vécu la journée le plus terrible de ma vie, mais aussi celle qui m’a donné la plus belle leçon de morale. Morris s’en va soudain des urgences, il arrive dans une autre partie de l’hôpital. Ici, tous les patients sont branchés à d’innombrables machines, il entre dans une chambre avec un homme assis à côté d’un lit avec quelqu’un dedans. Je n’ai pas mis deux secondes à reconnaître Amaury. Il ne pleure plus, mais il a l’air très malheureux.

 

Morris : Il y a du changement ?

Amaury : Non, rien. Elle a l’air paisible. Est-ce qu’elle souffre ?

Morris : Je ne pense pas, elle est sous morphine. En fait, elle dort simplement avec la différence qu’on ne sait pas quand elle peut se réveiller.

Amaury : ça devait être notre premier Noël ensembles en tant que jeune couple… Il montre son alliance. Je lui avais trouvé un super cadeau, qui sait si elle l’ouvrira un jour ? Je ne veux pas qu’elle s’en aille, j’ai besoin d’elle !

Morris : Ne désespérez pas, si j’ai bien appris une chose avec le coma, c’est qu’il faut s’attendre à tout. Il est encore trop tôt pour dire quoi que ce soit, vous ne savez pas si elle aura des séquelles ou pas, moi non plus, mais surtout un jour de Noël, il ne faut jamais perdre espoir.

Amaury : Je sais, mais je me sens si faible, si démuni face à tout ça ! C’est injuste !

 

Je voudrais réintégrer mon corps, je me sens fatiguée, mais il semble y avoir une barrière qui m’empêche de m’en approcher. Je voudrais me réveiller, avec Amaury à mes côtés, je voudrais qu’il me serre dans ses bras, je ne veux pas m’en aller. Alors je me laisse glisser et je pleure silencieusement de désespoir, sans personne pour m’entendre.

 

La nuit s’est écoulée sans changement, Amaury a dû partir, je ne peux toujours pas rejoindre mon corps, aux urgences, tout est redevenu « normal », du moins, aussi normal que ça peut l’être. Morris est un type bien en fait, un peu macho, mais très sympa. Tout au long de sa garde, il est venu régulièrement voir mon état. C’est l’heure des visites, je rejoins vite ma chambre, Amaury va arriver d’un instant à l’autre. Il ne devrait pas, ça lui fait trop de mal de me voir comme ça.

 

Quelle ne fut pas ma surprise de voir une grande partie de ma famille à mon chevet. Ils semblent tristes mais tentent vaillamment de ne rien montrer, mon petit frère me parle.

 

Rody : Hé, soeurette, reviens, reste avec nous, on avait pleins de cadeaux pour toi. Il y avait du saumon fumé pour le repas, on t’en a laissé ! Il faut que tu te réveilles pour pouvoir le manger.

Tom : Même Mary a accepté de te laisser ta part !

Je ne sais pas m’empêcher de rire, Mary, c’est ma tante, elle est trisomique et très gourmande, elle a toujours peur de ne pas avoir assez à manger.

Oliver : On ne s’est même pas disputés cette année, ce n’était pas drôle, Noël sans toi, c’est vide. Cyril a même offert un cadeau à chacun cette année ! T’imagines, lui, l’avare de service !

De nouveau, je me mets à rire, Cyril, un autre de mes frères est reconnu pour être assez avare, mais il n’aime pas qu’on le lui dise.

Cyril : Tais-toi, c’est pas la première fois que ça m’arrive d’abord !!

Amaury : Ouais, mais reconnais que ça arrive pas souvent quand même, mais ça fait partie de ton charme tu sais !

Cyril : Ah ah ah, mort de rire !

Oliver : Allez, rigole, on dit ça pour rire. Dis-moi Amaury, tu es sûr que tu ne t’es pas trompé, c’était pas Cyril que tu voulais épouser ?

 

J’éclate de rire, même si personne ne peut m’entendre, ils n’ont pas changés, je le adore ! Une famille de fous, je l’ai toujours dit. Mais curieusement, je me sens aspirée, je ne sais pas où, oh non, je ne veux pas m’en aller, je suis si bien auprès des miens !

 

Je me sens lourde tout à coup, j’ai l’impression de peser une tonne. J’entends des bruits agités, quelque chose bipe pas loin, tout est trouble dans mon esprit, je crois que quelqu’un me parle. La voix me semble familière…

 

Amaury : Dr Morris, elle se réveille !

Morris : Je vous avais bien dit d’y croire ! Il y a toujours de l’espoir. Mais restez calme s’il vous plaît, elle va avoir besoin de repos et il faut vérifier qu’elle n’ait aucune séquelle.

J’ouvre peu à peu les yeux, il est là, devant moi, il m’a pris la main et la serre doucement. Il m’appelle, j’ai envie de lui répondre, mais j’ai la bouche sèche, alors je lui souris. Cela semble lui suffire pour le moment. Moi pas il faut que je mette les choses au clair, et je parviens à articuler :

 

Moi : Tu ne t’es pas trompé hein ?! C’est bien moi que tu voulais épouser ?

 

D’abord étonné, il se mit ensuite à rire.

 

Amaury : Alors comme ça, on s’incruste dans les conversations des autres ? Bien sûr que c’est toi que j’aime !

 

Rassurée, je me tourne alors vers le docteur Morris.

 

Moi (d’une voix très rauque): Merci pour tout.

 

Comme quoi, ça vaut la peine de croire aux miracles de Noël, j’ai raconté cette expérience à Amaury dès que je fus en état de la faire, j’ai choisi de la mettre par écrit bien des années plus tard. Je ne sais pas si quelqu’un la lira un jour, mais ça m’est égal. Retenez simplement de tout ceci qu’il y a toujours de l’espoir, même si vous ne croyez pas à mon histoire d’esprit détaché du corps, j’ai vraiment été dans le comma et j’en suis sortie au bout de deux jours. J’ai eu de la chance, je le sais et depuis, j’ai appris à savourer la vie autrement. J’ai la chance d’avoir un mari adorable, deux enfants très mignons et une vie merveilleuse. Alors à tout le personnel du Cook County : MERCI !

 

Ecrit par Milie 
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